La page blanche
Cet exercice consiste à écrire (prose ou poésie, biographique ou non, "littéraire" ou "de réflexion") sur le thème, vaste s'il en est, de la page blanche. La longueur des participations est libre, d'une ligne à plusieurs pages. Par contre, vous êtes invités à ne pas forcément vous limiter à une seule participation, mais bien autant que vous le souhaitez. Vous pouvez également envisager de réagir à une participation déjà publiée (en indiquant la ou les phrases, ou le lien vers le texte et le nom de l'auteur, en citation au début de votre texte), que ce soit pour confirmer, complèter, ou développer une idée contradictoire... L'exercice étant plus vaste que d'habitude, deux semaines sont laissées pour travailler vos participations, que nous espérons les plus nombreuses possibles. Ne vous laisser pas paralyser par la page blanche ! Nouveauté : Vous pouvez aussi participer à cet exercice en vous référant à la proposition de Mifa. Tous les renseignements sur son blog : (Participation en forme de) proposition de thème . |
On parle d’angoisse de la page blanche
Mais pourquoi ne rien avoir à écrire devrait il provoquer une angoisse ?
Ne pas avoir d’inspiration, ne pas trouver les mots
C’est déjà avoir quelque chose à dire ou à écrire
Seulement nous n’avons pas encore trouvé comment l’exprimer.
Quand vraiment rien ne vient
Autant passer à autre chose
De passionnant ou d’ennuyeux qu’importe
Puisque presque systématiquement .
Des mots, des phrases, des idées
Tout va soudain jaillir en vrac
La difficulté résidera alors dans le fait d’avoir ou non
Sur soi de quoi les coucher sur le papier.
Car l’inspiration comme tout passe et parfois trépasse.